Concept Meta-A
En considérant « A » comme une entité, ce signe renvoi deux interférences différentes dans le cerveau par l’intermédiaire des neurones, le cerveau réagissent par l’action d’une stimulation nerveuse : « A » est familier, c’est le premier mot de l’alphabet. Le cerveau reconnait « A » car depuis ma petite enfance il a reçue le même stimulus qui s’est fortifié pendant un apprentissage à l’école. Par contre si je n’a pas de connexion avec ce forme banal « A », il se passe que je le trouve laid, voir bizard une curiosité morbide commence à se déclencher…Cette morbidité est au cours de l’histoire de l’humanité est l’origine de toute phobie qui a pour conséquence la diabolisation, la discrimination de l’entité étrangère ou dans un cas contraire elle engendre un émerveillement, qui stimule l’inconscience: de quoi elle faite cette image pourquoi elle est la…Récemment j’ai essayée , je faisais une expérience sur l’aptitude de mes amies à comprendre ou à faire face à une nouvelle idée : j’ai écrit des mot étrange moi-même je ne les comprend pas et je les publie sur des murs du réseaux social FACEBOOK (http://www.facebook.com/dofin.raf?ref=tn_tnmn avril 2013). Mais peut-t-on dire alors que le cerveau est la forme de conscience le plus matérielle jamais existé ? Conscience se rapporte-t-elle forcement à la métaphysique ? Ou est-t-elle la forme le plus palpable de l’existence d’un univers implacablement irrationnel ? « A »m’est familier, (familier veut dire ici une perception déjà mémorisée dans mes neurones) si seulement, si j’avait déjà une contacte visuel et psychique avec elle, alors mon cerveau se connecte à lui facilement, par conditionnement social j’ai psychiquement un « A » en moi, « A » est une partie de moi je le reconnais n’est pas par sa forme triangulaire mais par le biais du longueur d’onde qu’il déclenche au niveau de mon psyché.
Pour moi je ne peux pas reconnaitre une chaise si elle ne fait pas partie de moi, c'est-à-dire la stimulation lumineuse de mes yeux n’est qu’un phénomène physique pour la réminiscence de la psyché chaise (méta-chaise) matérialisé par une banale représentation palpable en bois. Notre emprisonnement dans ce dualité matière méta-matière a pour conséquence une interaction permanente entre ces deux univers…Or d’après mes expériences le déchiffrement de la métaphysique c'est-à-dire la concrétisation de nos idées en un objet de forme quelconque entraine une accélération de la vitesse de matérialisation d’autre idée inconsciente qui se localise au niveau de l’existence. En conclusion la matérialité n’est autre que le déchiffrement des champs scalaire de l’AU-DELA, chaque code, chaque chiffre correspond à une matière.
Pour moi cette théorie nous permet de dégager les secrets dissimulés dans chaque représentation physique, car chaque aliénation atomique qui correspond à une représentation physique tangible a pour symétrie une code connu sous le nom de méta. Par exemple pour « A »son code serait «méta-A ». Dans ce cas les artistes participent activement à l’avènement d’une apocalypse (l’achèvement d’un cycle) car ils libèrent une certaine quantité de psyché en créant des entités indépendants et propre : APOCALYPSE=DEMENTELEMENT d’un anciens système de valeur. Pourtant les œuvres d’art permettront-elles de décrypter la métaphysique d’une manière scientifique ? (FIGARO MAGAZINE le 14 novembre 2008, l’Au-delà à l’épreuve de la science) ou une œuvre serait le symétrie particulière d’une représentation subjective. Et si on penche sur les phénomène dite de paranormaux, je qualifie ici de paranormaux les incantations ou les invocations d’esprit, parce que pour moi nous pouvons étudier d’une manière cartésienne ces phénomènes .
Considérons « A » une conception, je parviens au concept « A » par l’intermédiaire de la stimulation du cerveau (le principal outil d’interface) l’interface entre « A » matériel et « Meta-A » psychique. C’est à dire à partir du « A » je peux parvenir au « Meta-A » par ascendance « Meta-A » est en quelque sorte le formule métaphysique de « A », venant du psychisme universel et primitif. Mais pour mieux cerner et comprendre le métaphysique j’ai trouvé que nous devons nous même être compris : par l’analyse du mécanisme d’écoulement psychique qui fait un être humain une entité matérielle que spirituelle, c'est-à-dire une dualité psychique-physique. Dans le but de dégager une vérité générale permettant de retracer le trajet entre au-delà matière.
Premièrement l’être humain est un animal sociale il est prédéfinis à vivre en société à une appartenance familiale, culturelle, voir cultuelle…il est condamné à vivre en association. Par exemple à Madagascar le Malagasy se résume par l’unissons le « FIHAVANANA » en vénérant le ZANAHARY, les RAZANA et les OLO BE ; il se détermine par sa culture de cohésion en tissant des liens solides et en édifiant des ANTERO ka ALAO…Même à notre époque ou la philosophie occidentale prédomine la vie sociale économique et culturelle ou on met en valeur l’argent, le profit l’être humain est loin d’être capable de vivre seul. Il est loin d’être capable à se satisfaire de ses propres besoins sans l’aide et l’appui de ses semblables pires les machines qu’ils inventent nuisent à sa capacité à devenir un être spirituel élevée et respecté par sa propre nature…Pire des conspirations se forment soient disant maitriser la société humaine, je parle ici des rumeur des « ILLUMINATI, des LOGES FRANC MACONNIQUE » http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ories_du_complot_Illuminati Dans l’ancien testament ce sont seulement les lépreux que les Israéliens isolent de la société (Lévitique 13).Anciennement la société Malagasy s’organise par alignement du plus grand, plus puissant, plus vieux au plus petit membre de la société ou du groupe. Dans cette hiérarchie chacun joue un rôle spécifique « mananjoky afa-kola-teny, mananjandry afa-kolan’entana ».Je perd mon statut de membre si je nie ce système, c'est-à-dire je suis devenu un étrangère à moi-même et envers mon groupe, je suis devenu un « tsy misy fotony ».Actuellement cette hiérarchie garde sa valeur mais se métamorphose par une catégorisation du plus riche au plus pauvre…
Deuxièmement l’être humain est un être mystique et spirituelle : il adore et éprouve un peur vorace aux dite être mystiques, être supérieur comme Dieu, les saints, les prophètes : en 2012 un film intitulé « L’innocence des Musulmans » a provoqué un tôlé de violence contre les Etats Unis partout dans le monde arabe et Islamique. D’âpres cette analyse s’établisse par l’établissement de norme et des lois naturelles qui sont dictés par l’accomplissement d’une essence commune reconnu par une période ou une génération…soumettant à chaque membre à une servitude et au sauvegarde d’une patrimoine commune : la culture. Je fait parti du clan si seulement je respecte les règles et l’alignement régis par des lois et des codes qui servent de balise, qui soumettent chaque membre à une servitude et au sauvegarde d’une patrimoine commune. Ces lois régissent chaque membre de la société jusqu'à l’anéantissement de la civilisation, au cas contraire un membre se retire du groupe pour former une sorte de souche mutante. Je dénomme ces personnes comme des artistes car ils cultivent des caractères très particulière voir une anomalie pour une société, par leur capacité de changer les paradigmes de la population. Ce sont pour moi des personnes qui a une forte sensibilité…les primitifs qui avaient dessinés la grotte d’Espagne étaient-t-ils la population entière ou une groupe d’individu, une minorité infime qui voulaient éterniser leur histoire. Pourtant la société est un amas homogène infecté par une morbidité effective : ruée vers l’alcoolisme, les addictions symptomatiques ou psychotropes…pour se soulager (lat-subleviare,alleger), pour se soustraire (lat-substrahere,retirer ) Ces dernières années on parle de « REVY » à Madagascar , je me demande pourtant pourquoi se soulager autant ? Les lois de la société sont-t-elles si lourde à supporter ? Pourquoi pas nous avons un besoins subversives mais incompréhensible pour la masse populaire ? et si l’artiste s’oriente vers la recherche d’équilibre dans ce qu’ils appellent la beauté ? Ou remet-t-il en question le sens de la vie ? Même si l’art actuellement n’exprime pas cette attitude dans son ensemble. Parce que l’art est devenu une sorte de rite de mythisme qui dégage des chromatismes. La sensibilité la morbidité de la société humaine ne s’exprime-t-elle pas dans les œuvres d’art ?
Pour moi je ne peux pas reconnaitre une chaise si elle ne fait pas partie de moi, c'est-à-dire la stimulation lumineuse de mes yeux n’est qu’un phénomène physique pour la réminiscence de la psyché chaise (méta-chaise) matérialisé par une banale représentation palpable en bois. Notre emprisonnement dans ce dualité matière méta-matière a pour conséquence une interaction permanente entre ces deux univers…Or d’après mes expériences le déchiffrement de la métaphysique c'est-à-dire la concrétisation de nos idées en un objet de forme quelconque entraine une accélération de la vitesse de matérialisation d’autre idée inconsciente qui se localise au niveau de l’existence. En conclusion la matérialité n’est autre que le déchiffrement des champs scalaire de l’AU-DELA, chaque code, chaque chiffre correspond à une matière.
Pour moi cette théorie nous permet de dégager les secrets dissimulés dans chaque représentation physique, car chaque aliénation atomique qui correspond à une représentation physique tangible a pour symétrie une code connu sous le nom de méta. Par exemple pour « A »son code serait «méta-A ». Dans ce cas les artistes participent activement à l’avènement d’une apocalypse (l’achèvement d’un cycle) car ils libèrent une certaine quantité de psyché en créant des entités indépendants et propre : APOCALYPSE=DEMENTELEMENT d’un anciens système de valeur. Pourtant les œuvres d’art permettront-elles de décrypter la métaphysique d’une manière scientifique ? (FIGARO MAGAZINE le 14 novembre 2008, l’Au-delà à l’épreuve de la science) ou une œuvre serait le symétrie particulière d’une représentation subjective. Et si on penche sur les phénomène dite de paranormaux, je qualifie ici de paranormaux les incantations ou les invocations d’esprit, parce que pour moi nous pouvons étudier d’une manière cartésienne ces phénomènes .
Considérons « A » une conception, je parviens au concept « A » par l’intermédiaire de la stimulation du cerveau (le principal outil d’interface) l’interface entre « A » matériel et « Meta-A » psychique. C’est à dire à partir du « A » je peux parvenir au « Meta-A » par ascendance « Meta-A » est en quelque sorte le formule métaphysique de « A », venant du psychisme universel et primitif. Mais pour mieux cerner et comprendre le métaphysique j’ai trouvé que nous devons nous même être compris : par l’analyse du mécanisme d’écoulement psychique qui fait un être humain une entité matérielle que spirituelle, c'est-à-dire une dualité psychique-physique. Dans le but de dégager une vérité générale permettant de retracer le trajet entre au-delà matière.
Premièrement l’être humain est un animal sociale il est prédéfinis à vivre en société à une appartenance familiale, culturelle, voir cultuelle…il est condamné à vivre en association. Par exemple à Madagascar le Malagasy se résume par l’unissons le « FIHAVANANA » en vénérant le ZANAHARY, les RAZANA et les OLO BE ; il se détermine par sa culture de cohésion en tissant des liens solides et en édifiant des ANTERO ka ALAO…Même à notre époque ou la philosophie occidentale prédomine la vie sociale économique et culturelle ou on met en valeur l’argent, le profit l’être humain est loin d’être capable de vivre seul. Il est loin d’être capable à se satisfaire de ses propres besoins sans l’aide et l’appui de ses semblables pires les machines qu’ils inventent nuisent à sa capacité à devenir un être spirituel élevée et respecté par sa propre nature…Pire des conspirations se forment soient disant maitriser la société humaine, je parle ici des rumeur des « ILLUMINATI, des LOGES FRANC MACONNIQUE » http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9ories_du_complot_Illuminati Dans l’ancien testament ce sont seulement les lépreux que les Israéliens isolent de la société (Lévitique 13).Anciennement la société Malagasy s’organise par alignement du plus grand, plus puissant, plus vieux au plus petit membre de la société ou du groupe. Dans cette hiérarchie chacun joue un rôle spécifique « mananjoky afa-kola-teny, mananjandry afa-kolan’entana ».Je perd mon statut de membre si je nie ce système, c'est-à-dire je suis devenu un étrangère à moi-même et envers mon groupe, je suis devenu un « tsy misy fotony ».Actuellement cette hiérarchie garde sa valeur mais se métamorphose par une catégorisation du plus riche au plus pauvre…
Deuxièmement l’être humain est un être mystique et spirituelle : il adore et éprouve un peur vorace aux dite être mystiques, être supérieur comme Dieu, les saints, les prophètes : en 2012 un film intitulé « L’innocence des Musulmans » a provoqué un tôlé de violence contre les Etats Unis partout dans le monde arabe et Islamique. D’âpres cette analyse s’établisse par l’établissement de norme et des lois naturelles qui sont dictés par l’accomplissement d’une essence commune reconnu par une période ou une génération…soumettant à chaque membre à une servitude et au sauvegarde d’une patrimoine commune : la culture. Je fait parti du clan si seulement je respecte les règles et l’alignement régis par des lois et des codes qui servent de balise, qui soumettent chaque membre à une servitude et au sauvegarde d’une patrimoine commune. Ces lois régissent chaque membre de la société jusqu'à l’anéantissement de la civilisation, au cas contraire un membre se retire du groupe pour former une sorte de souche mutante. Je dénomme ces personnes comme des artistes car ils cultivent des caractères très particulière voir une anomalie pour une société, par leur capacité de changer les paradigmes de la population. Ce sont pour moi des personnes qui a une forte sensibilité…les primitifs qui avaient dessinés la grotte d’Espagne étaient-t-ils la population entière ou une groupe d’individu, une minorité infime qui voulaient éterniser leur histoire. Pourtant la société est un amas homogène infecté par une morbidité effective : ruée vers l’alcoolisme, les addictions symptomatiques ou psychotropes…pour se soulager (lat-subleviare,alleger), pour se soustraire (lat-substrahere,retirer ) Ces dernières années on parle de « REVY » à Madagascar , je me demande pourtant pourquoi se soulager autant ? Les lois de la société sont-t-elles si lourde à supporter ? Pourquoi pas nous avons un besoins subversives mais incompréhensible pour la masse populaire ? et si l’artiste s’oriente vers la recherche d’équilibre dans ce qu’ils appellent la beauté ? Ou remet-t-il en question le sens de la vie ? Même si l’art actuellement n’exprime pas cette attitude dans son ensemble. Parce que l’art est devenu une sorte de rite de mythisme qui dégage des chromatismes. La sensibilité la morbidité de la société humaine ne s’exprime-t-elle pas dans les œuvres d’art ?
Mais provienne-t-elle du caractère inflexible de la société par rapport à sa nature innovateur ? L’innovation vienne-t-elle de l’ensemble ou fruit de l‘ensemble ? Et si l’innovation est le fruit même de la morbidité qui est souvent mal acquiert, les lois nous lasse et nous avons besoins de changer n’est pas la loi mais la manière dont elle vas agir (vêtement) en créant une nouvelle souche d’apparence et esthétique. Pourtant ces innovations nous permettent d’oublier le caractère intrinsèque de l’humanité, en se pensant sur le matérialisme ambiant. Parce que l’être humain est un être physique calqué d’une entité spirituelle le « FANAHY » : le physique nous oblige à se conformer à la gravité, à la lumière, la spiritualité nous force à croire à une existence supérieure à une harmonie parfaite. La complémentarité de ces deux entités est la manifestation de la dualité chez l’être humain. Le physique ouvre la porte de l’infiniment grand, le gigantisme ; le spirituel ouvre la porte de l’infiniment petit, vers le néant l’origine.
Les études récentes montrent que la conscience (qui n’est pas matérielle) n’est pas vérifiable matériellement pourtant les scientifiques essayent de vérifier son existence par une analyse qui ne vont jamais se terminer car elles se pensent vers l’infiniment petit, le quantique. L’humanité est désorienté par le matérialisme ambiant car il considère la matière comme une source, or l’origine ne se trouve-t-elle pas au seille de l’infiniment petit au néant?
Car la matière n’est que la concrétisation de la croyance à un psychisme universelle qui régisses l’univers, quand j’observe A je n’a pas de A dans la conscience mais un méta-A qui n’est autre que la stimulation énergétique d’une énergie « e » de rayon « r » en dégageant le « HASINA ». C’est à dire la matière A est devenu un flux énergétique emportant avec lui un rayon « r » dans la conscience subjective. Plus «e » et « r » sont plus grandes plus « méta-A » est plus danse et consciente, plus loin « méta-A » compose désormais une partie de ma personnalité. A partir de ce « méta-A » on entre dans le monde post conscient ou la psychologie quantique joue son rôle, car la conscience n’est pas matérielle mais l’image de la matière que nous sommes.
En contemplant un tableau il est devenu une partie de moi-même sans quoi je ne pouvais pas sentir son présence. Pourtant ce mécanisme se fait seulement par un dégagement d’énergie et par émission d’énergie « e » de rayon d’influence « r », qui catalyse mon psychisme à entrer en corrélation avec le concept de l’artiste ; c’est ce que j’appelle le mécanisme d’assimilation des vibrations matérialisées. En contacte de l’environnement je forme un surréel silencieux et inconscient, sa subjectivité engendre des ambigüités psychiques source d’anxiété et de phobies. Car l’accumulation de volume psychique pollue l’inconscience en fonction des changements perpétrer par la globalisation de la culture entrainant chez certain sujet l’culturalisme ou la personne concerné perd son repert de valeur en fonction de la société a laquelle il évolu.
Les énergies « e » de rayon d’influence « r » ne sont plus dissoute par la conscience formant ainsi un amas homogène appelé oublié, ces oublié se désintègre par la joie ou la colère, mais l’accélération temporelle causé par l’apparition de nouvelle technologie qui facilite la création de nouvelle idée désorganise de plus en plus le fonctionnement psychique c’est pourquoi un nombre considérable d’être humain se distrait par une sorte de dégagement psychologique consistant à une distraction dépersonnalisée…Pour les artistes les oubliés surgissent par une activation de la motricité créative ou par dégagement involontaire et morbide.
L’activation de la créativité soulagera la personne en concrétisant une œuvre originale, mais le dégagement involontaire vers une dérive existentielle, le dérive se caractérise ici par l’abus de distraction.
A partir d’une œuvre pouvons nous suivre une ligne directrice qui mène vers le non sens, vers le vide, car pour moi contrairement aux lois de la physique matière=énergie le néant est une source beaucoup plus important d’énergie spirituelle c'est-à-dire l’énergie créatrice : inépuisable, pure il relia l’essence de l’origine unissant donc perfection et infinité. Le vide est un point culminant entre matérialisme et spiritualité…c’est pourquoi certain pratique religieuse se focalise par la recherche du vide pour appréhender la perfection voir retrouver le visage de Dieu. Certain veut épanouir son être c'est-à-dire suivre un courant surréaliste et surpasser la perception de l’existence pour atteindre le néant. Dans le néant ou l’infiniment petit retrouve son limite, parce que la commence le rien absolu ou la conscience absorbe son énergie vitale, transmettant a la matière un pouvoir qui le permet de subsister et de réorganiser une autre forme esthétique…je qualifie ces énergies « e » la condensation de la matière qui dégage des résidus caractéristiques…
(…) Grace à l’expansion inflatoire on pouvait obtenir un univers grand homogène et peuplé de galaxies .Tous ce qu’il nous faut c’est un faux vide .Reste à savoir l’origine de cette univers initiale. Celui étant très petit, on pourrait avoir recours à la physique quantique, qui règne sur le monde de l’infiniment petit.
En effet la physique quantique nous permet d’obtenir un tout petit univers à partir de rien, « RIEN » signifiant ici l’absence de matière, d’espace et de temps .La physique quantique est très différente de la physique classique de Newton : les conditions initiales peuvent aboutir à des résultats différents, et nous ne pouvons qu’en calculer les probabilités, ceci est du aux fluctuation quartiques. Ainsi un électrons par exemple après sa collision avec un autre particule peut choisir d’aller à gauche ou à droite même si on ne change pas les conditions initiales. Les particules ne sont plus considéré comme des bulles de matières mais comme des nuages d’énergies entourés par un flou et qui se comporteraient tantôt comme des corpuscules, tantôts comme des ondes. (…) Mais qu’en est–t-il de « l’instant zero »?: en effet quand l’univers était âgé de moins de 10 puissance -43 seconde (dix millionième de milliardième de milliardième de milliardième de milliardième de seconde) échappe toujours aux cosmologistes. Nous sommes la face à un problème conceptuel témoignant de notre fantasme d’attribuer au monde une date de naissance : le temps est dans un temps qui n’existe pas encore. Un 10puissance -44eme de seconde n’existe probablement pas. L’instant zero serait donc une sorte d’infini, un horizon inaccessible. Mais cela n’a pas empêché les théoriciens d’élaborer l’existence d’univers multiple : pour le cosmologiste Andrei Linde un des pères de l’inflation, notre univers n’est qu’une bulle d’espace temps noyée dans une mousse d’autres univers (…)
Copyright C 2002 cosmos gate By W.B Alli GHTS Reserv. Adrei Linde voir Magazine science VIE N° 988 Janvier 2000 L’avant Bing Bang.
A partir de ces théories quantiques sur l’apparition de l’univers pouvons-nous parvenir à déduire une vérité ? Qui ferait l’être humain une manifestation parfaite de dualité Matiere-Au-dela.C’est à dire une symbiose entre le matérialisme et le psychisme, parce que le physique quantique considère qu’à partir d’un masse homogène d’énergie « e » s’est dégagé l’univers, et qui à l’écoulement même ou mon stylo clavier il y aurait des univers qui se forment.
Considérons cette masse homogène l’expression d’un esprit universel, or l’être humain a un esprit une conscience pure de quantité infime plus précisément de FANAHY, une partie du FANAHY universel ? mais l’universel est l’expression de l’univers et le AHY de l’homme serait son expression son identité propre…Aujourd’hui l’humanité a parvenus à concevoir des concepts et pouvaient fabrique des outils qu’auparavant on n’aurait jamais imaginer : de l’automobile à l’Phone 5…Ce sont pourtant le fruit d’un déclic imaginaire, comme l’artiste d’où viennent-t-elles ces inspirations ? Je doute fort qu’elles viennent toute du matérialisme. A partir d’une œuvre peut-on décrypter le mécanisme qui ferait de l’imagination une matière visible et palpable ? Le trajet entre le concept et la conception a-t-il un duré ? Je crois que c’est le temps, un mouvement supérieur à toute la vitesse que notre esprit pouvait imaginer, son trajet est du néant à la matière. Parce qu’en considérant un concept comme une entité immatérielle, nous devons admettre alors que le temps n’existe pas qu’à partir d’un instant ou une idée vient de aitre c'est-à-dire je viens de déclencher une accélération dans le psychisme universel plus précisément je suis en train de décrypter une information, cette information devient une matière inerte par le processuel d’accélération temporelle…
Si je considère comme une entité métaphysique, je doit admettre alors que le temps n’existe qu’à un instant considéré zéro ici au 10 puissance -43 seconde ou temps de Planck, à la limite même de la conscience (mais je crois qu’elle est encore plus loin) ou pour se subsister une écoulement perpétuelle se traduit par une sorte de condensation des information obtenue a partir de cette écoulement la concrétisation d’une idée initialement n’a pas existé. Sur un fond blanc un artiste tisse et mélange les couleurs pour donner une forme originale et concret, reste à savoir s’il ya une différence entre l’idée dite initiale (mère) et l’idée qui est parvenue sur le toile, qui forme probablement le psychisme de l’artiste. Je suis persuadé que cette notion d’idée initialement décrypter au niveau de l’instant zéro retrace une dualité : par exemple « méta-A » l’idée initiale et « A » l’idée finalement inscrite sur le toile, à quelle moment de la traduction des informations se trouve alors la limite entre « A » et « méta-A »? Ce qui explique seulement cette notion de dualité « A » devenu une matière visible et palpable émet des informations qui permettent à sa concrétisation c'est-à-dire que je peut matériellement être en incidence avec « A ». Cette incidence se traduit par une émission d’énergie « e » dans mon cerveau or si « A » émane une énergie « e » de rayon « r » pour qu’elle soit contrait dans le cerveau, son énergie catalase une nouvelle souche dite primitive et engendre une nouvelle idée suite logique de « A », jusqu'à ce que les informations on décrypter dans l’esprit univers s’épuise…Donc le physique évolue pour devenir une œuvre parfaite « Au-delà Matière ».C'est la théorie même de la transmission progressive de la métaphysique pour la finalisation d’un cycle de 360° , qui est progressive car c’est un état de changement perpétuel et infini par un dégagement de vibration et d’énergie qui a pour conséquence le décryptage d’autre information estoquée dans le psychisme universelle.
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